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État du français comme langue de travailÉtat du français comme langue de travail : une analyse comparative des régions de Montréal et d’Ottawa

Rév. juin 2011 - Au cours des quarante dernières années, le Canada et le Québec ont choisi deux voies différentes en ce qui a trait à la politique linguistique. Le premier a choisi une politique de bilinguisme censée protéger les minorités de langue officielle au sein de chaque province alors que le second a plutôt opté pour une politique d’unilinguisme officiel faisant du français la langue d’usage public privilégiée au Québec. [Lire la suite]

Enquête sur les comportements linguistiques des étudiants au collégialEnquête sur les comportements linguistiques des étudiants du collégial (ECLEC)

Décembre 2010 - Au Québec comme ailleurs dans le monde, l’éducation publique est considérée comme un puissant facteur d’intégration. À travers les enseignements reçus, les jeunes s’initient aux codes, à la culture et à la langue de leur société. Dans le contexte institutionnel québécois où l’éducation est dispensée en français et en anglais, l’effet de la scolarisation sur les comportements linguistiques demeure méconnu. [Lire la suite]

Le choix anglicisantLe choix anglicisant : une analyse des comportements linguistiques des étudiants du collégial sur l’Île de Montréal

Septembre 2010 - À l’aide des enseignements reçus à l’école, les jeunes s’initient aux codes et à la culture de leur société. Dans le cas des jeunes immigrants, c’est également par leurs interactions avec les natifs qu’ils intégreront graduellement la culture d’accueil. Dans une région où existent une langue commune et une culture de convergence, l’école permet aux immigrants de toutes origines de s’intégrer à la société et de contribuer à un projet commun. [Lire la suite]

La langue d'enseignement... et aprèsLa langue d’enseignement… et après

Mars 2010 - Chez les divers groupes linguistiques, y compris les allophones, il y a une relation claire entre la langue des études supérieures et la langue de travail, pour ceux qui ont un emploi au Québec. De même, faire ses études supérieures en anglais augmente fortement la probabilité d’avoir un emploi, une année ou deux après le terme des études, dans le reste du Canada, plutôt qu’au Québec. [Lire la suite]

Francophones anormauxNiveaux de participation aux études supérieures: les francophones du Québec ne sont pas anormaux

Février 2010 – Dans le numéro de février 2010 des Données sociodémographiques en bref, l’institut de la statistique du Québec publie une étude sur la scolarité selon la langue maternelle, dont deux conclusions sont percutantes : les francophones du Québec sont proportionnellement moins nombreux que les allophones et les anglophones du Québec à détenir un grade universitaire; ils sont également proportionnellement moins nombreux à détenir un grade universitaire que les Franco-ontariens. [Lire la suite]

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